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Jumping

Antoni Draga débute l’année en beauté à Opglabbeek !

Antoni Draga et A Warrior Mury Marais Z (Photo : Ecurie Maximilien Elsen)
Antoni Draga et A Warrior Mury Marais Z (Photo : Ecurie Maximilien Elsen)

Après une petite pause, les compétitions internationales ont repris en douceur ce week-end. Seul un CSI 1 et 2* était en effet programmé à Opglabbeek, et nos représentants y étaient peu nombreux car beaucoup se préparent notamment à rejoindre Oliva pour une nouvelle tournée du Mediterranean Equestrian Tour.

Les guêtres en jumping, nouvelle règlementation FEI 2021.

Découvrez le nouveau règlement FEI entrant

Jumping

Dominique et Louise Joassin

Prénom et nom : Dominique Joassin et Louise Joassin

Dates de naissance : 06/10/1971(Dominique) et 09/09/2002 (Louise)

Installations sportives : Couthuin

Discipline(s): Jumping

 

Parcours équestre

Cela fait plusieurs années que Dominique Joassin et sa fille Louise partagent la passion des chevaux et du saut d’obstacles. Si la jeune cavalière a grandi dans le milieu équestre, ce n’est pas le cas de son père, qui a débuté l’équitation sur le tard. « Lorsque j’étais gamin, mon rêve était de faire de la moto mais mes parents n’étaient pas d’accord », raconte-t-il.  « J’ai pratiqué beaucoup de sports différents, puis vers l’âge de 14 ans j’ai commencé à monter dans les bois avec des amis. J’ai tout de suite apprécié le rapport à l’animal, la sensation de liberté que ça me procurait. »

 

Dominique Joassin a ensuite participé à ses premiers concours et a eu comme premier professeur d’équitation Félix-Marie Brasseur. Il pratiquait l’équitation juste pour le plaisir, jusqu’à ce qu’il gagne sa première épreuve... « C’était une toute petite hauteur mais ma mère a cru que j’étais un champion et mes parents, qui ne connaissaient rien aux chevaux, ont commencé à s’intéresser à l’équitation », raconte-t-il en riant. « Lorsque j’ai redoublé une année en secondaire, ils m’ont fait travaillé tout l’été avec Hervé Daout, qui m’a pris sous son aile et m’a permis de faire un bond en avant. »

Par la suite, Dominique Joassin a aussi monté avec des entraîneurs comme Jos Kumps ou Albert Voorn, ce qui lui a permis de forger sa propre équitation. En parallèle, il a franchi les échelons en compétition, a participé à ses premiers CSI, et de fil en aiguille il est devenu cavalier professionnel après avoir terminé ses études secondaires. Ses parents l’ont aidé à se lancer en achetant des chevaux, en élevant un peu et en investissant dans des infrastructures près de la maison familiale. Ils y ont construit des installations équestres, mais aussi des logements que Dominique Joassin a mis en location. « J’estime que « vivre de sa passion » sont deux choses qui ne vont pas ensemble », confie-t-il. « Je n’ai jamais voulu vivre par les chevaux, mais pour les chevaux, c’est pourquoi j’ai fait en sorte de développer des sources de revenus qui ne sont pas dépendantes de mes activités de cavalier. »

Dominique Joassin a aussi tenu à fonder une famille et est père de 3 enfants, mais seule sa fille Louise (18 ans) est cavalière. « J’ai commencé à monter avec ma sœur vers l’âge de 6 ans, puis j’ai arrêté avant de reprendre plus sérieusement vers mes 11-12 ans », raconte-t-elle. « Au départ papa m’a envoyé en poney club, puis j’ai voulu acheter mon propre cheval. »

Impressionné par la détermination et la passion dont Louise faisait preuve, Dominique Joassin a alors choisi de coacher lui-même sa fille. Il n’apprend pas seulement à Louise à monter à cheval, mais essaye aussi de lui inculquer tout ce qui est nécessaire pour réussir en tant que cavalière. « L’idée n’est pas qu’elle monte juste pour gagner, mais qu’elle sache comment être sans faute, qu’elle apprenne à se tenir à un plan de parcours, qu’elle améliore son mental, etc », précise Dominique Joassin. « J’essaye aussi de petit à petit transmettre à Louise des responsabilités à l’écurie. »

 

Chevaux

Aujourd’hui, les écuries de la famille Joassin rassemblent une quinzaine de chevaux. Au fil des ans, Dominique Joassin a mis en place un système qui lui permet d’être propriétaire de ses montures et donc d’en avoir totalement le contrôle. Par le passé, il a toutefois formé et monté de nombreux chevaux pour le compte de (co)propriétaires.

Dans les années 1990, sa carrière a notamment été marquée par Lollipop 12 et Danton du Bosquetiau, avec qui il a accédé à des étapes de Coupe du monde ou Coupes des nations. « Hélas Danton s’est cassé le pied à la longe, et ça a été un moment vraiment difficile », confie-t-il.

Durant les années qui ont suivi, Dominique Joassin a principalement monté des jeunes chevaux, puis il a décidé de se relancer vers un plus haut niveau dans le courant des années 2000, avec des montures qui lui appartenaient. Il a notamment redémarré avec Dark de la Hart, un cheval qu’il a formé et avec qui il a retrouvé les Coupes des nations. Le cheval a ensuite poursuivi sa carrière avec Quentin Judge.

Par la suite, il y a eu d’autres chevaux marquants comme Best of Opus Dei Z, qui a lui aussi atteint les Coupes des nations et les CSI jusqu’à 5*, ou encore Si La Sol de Greenbay Z et Win Luck de Gelivaux que le cavalier a amenés en CSI 3 et 4*. « C’est une fierté et une satisfaction personnelle d’avoir débourré et débuté plusieurs chevaux, puis de les avoir emmenés le plus loin que je pouvais », confie-t-il.

Aujourd’hui, Dominique Joassin poursuit d’ailleurs dans cette voie. Il place notamment beaucoup d’espoirs dans In Love et Bingo Z, deux chevaux qui prennent 7 ans en 2021. « Même si je n’avais pas l’intention d’acheter un cheval, j’ai acquis Bingo Z car il m’a vraiment interpellé. Quant à In Love, elle est particulière car c’est un produit de mon élevage et elle provient de deux chevaux que j’ai montés : Best Of et Si La Sol. »

Louise Joassin, quant à elle, a démarré ses premiers concours avec une jument nommée Vaillante. Ces dernières années, elle a monté une dizaine de chevaux, ce qui lui a permis « de prendre de l’expérience et d’apprendre à créer une bonne entente avec différentes montures », confie-t-elle. Il y a toutefois un cheval qui compte plus que les autres pour Louise Joassin : Hermanie. « C’est une jument que papa a formée et mise sur les grosses épreuves avant de me la confier », explique la jeune fille. « C’est avec elle que j’ai fait mes débuts en children, mais c’est aussi avec elle que j’ai participé à mes premiers championnats et concours internationaux. »

Parmi les chevaux que Louise Joassin a montés, Sherman Sitte garde aussi une place particulière : « Je l’avais au pair et il m’a beaucoup appris, m’a donné de l’expérience. » Il a notamment offert à la jeune cavalière sa première victoire internationale à Vejer de la Frontera en 2017.

 

Performances 

Le palmarès de Dominique Joassin compte de multiples victoires internationales jusqu’en CSI 4*. Il a notamment remporté le Grand Prix 2* de Dinard en 2014, ou encore la Coupe des nations avec l’équipe belge à Lisbonne en 2012. Il s’est également classé 2e du Grand prix 3* de Lisbonne en 2016, ou 3e de celui de Vimeiro en 2012. Dominique Joassin a aussi participé à deux championnats d’Europe lorsqu’il concourait en Young riders, avec à la clé une médaille d’argent par équipe à San Remo. En plus de Lisbonne, il a aussi représenté la Belgique en Coupes des nations à de multiples autres occasions.

Bien qu’encore jeune, Louise Joassin a déjà elle aussi un beau palmarès derrière elle. Elle a terminé 5e de son premier championnat de Belgique scolaires, et a remporté la Coupe de Belgique juniors en 2019 et 2020. Elle a aussi été sacrée championne LEWB dans la même catégorie en 2018. Au niveau international, Louise Joassin a remporté quelques victoires, dans une dans le Grand Prix 1* de Liège en 2018. Elle a aussi participé aux championnats d’Europe children en 2016 à Millstreet, où elle a fini meilleure belge avec sa 13e place en individuel. « C’était vraiment un beau symbole car c’est là que j’avais participé à ma première Coupe des nations avec Lollipop », souligne son père. « Ce sont des souvenirs impérissables. » 

 

Objectifs

Louise Joassin vient de débuter un baccalauréat en relations publiques, mais son intention est de se lancer professionnellement dans les chevaux après ses études. Elle et son père visent tous deux le plus haut niveau en compétition, c’est pourquoi Dominique Joassin s’est lancé dans l’élevage il y a quelques années. « J’ai toujours voulu élever, et je m’y suis mis il y a un peu moins de dix ans afin de produire des chevaux pour Louise et moi-même », explique-t-il. « Je n’ai en effet pas la capacité d’acheter des montures de Grands Prix, donc je les fabrique avec des chevaux que j’ai montés et qui me tiennent à cœur. De plus, c’est une aventure magnifique d’amener des chevaux au plus haut niveau. »

Les produits les plus âgés de l’élevage ont 7 ans, donc il faudra attendre encore un peu avant de les voir s’illustrer dans les plus grosses épreuves. En attendant, Louise Joassin compte se lancer en 2021 sur le circuit young riders avec sa fidèle Hermanie qui l’accompagne depuis les épreuves children.

 
Discipline(s): 
Jumping

Un week-end fructueux à Lier

Leslie Desilly
Leslie Desilly

L’année 2020 touche petit à petit à sa fin et, contrairement aux habitudes, le calendrier des compétitions est moins étoffé en raison du Covid-19. Le célèbre Jumping de Malines qui clôture habituellement l’année n’aura par exemple pas lieu, mais il reste cependant encore quelques opportunités de concourir pour les professionnels et cavaliers de moins de 13 ans. C’était le cas ce week-end à Lier, où se déroulait un CSI 1 et 2*.

Succès multiples à Lier et Opglabbeek !

Estelle Gerard et Nikita Van Der Meerschen
Estelle Gerard et Nikita Van Der Meerschen

Après de longues semaines à concourir dans le Sud de l’Europe, la plupart de nos cavaliers de jumping ont retrouvé la Belgique pour la fin de l’année. Ce week-end, plusieurs d’entre eux sont restés à la maison, mais d’autres ont aussi rejoint les deux CSI 1 et 2* organisés en Belgique : ceux de Lier et Opglabbeek.

Le calendrier de saut d’obstacles 2021 : un cadeau de Noël avant l’heure…

2020 va bientôt tirer sa révérence et nous sommes bien tous d’accord de laisser cette année particulière aussi vite que possible derrière nous. Quelque peu avant l’heure, la commission nationale de saut d’obstacles a déjà préparé un beau cadeau de Noël. Le calendrier de la saison de saut d’obstacles 2021 est prêt et promet de nombreux grands moments sportifs dans l’année à venir. Cliquez ICI pour le télécharger en PDF (plusieurs mise à jour depuis le 8/12/2020).

Avis aux cavaliers communautaires de saut d’obstacles

La Commission LEWB de Saut d’Obstacles s’est penchée sur la situation des challenges communautaires : Classic Tour Sellerie Gilbert et Arena Pony Trophy 2020.

Après réflexion, les finales auront bien lieu en 2021. Cependant, la date ne pourra être annoncée que dans le courant du mois de janvier. Le lieu reste le même que celui initialement prévu en novembre: Welkenraedt.

Nous espérons tous que les mesures sanitaires pour contrer la propagation du corona pourront permettre une organisation plus sereine de cet événement.

Encore des victoires à Oliva !

Constant Van Paesschen (Photo : Van Paesschen Equestrian Center)
Constant Van Paesschen (Photo : Van Paesschen Equestrian Center)

Les semaines se suivent et se ressemblent pour nos cavaliers de jumping encore présents au Mediterranean Equestrian Tour d’Oliva, en Espagne ! Il s’agissait de la dernière semaine du circuit automnal avant la reprise mi-janvier, et plusieurs de nos représentants l’ont bouclée en beauté.

Nikita Van Der Meerschen

Nikita et D-Day

Prénom et nom : Nikita Van Der Meerschen

Date de naissance : 09/07/2008

Installations sportives : Midfield stables, Lasne

Discipline : Jumping
 

Parcours équestre

Nikita Van Der Meerschen a débuté l’équitation dès l’âge de 5 ans. Ses parents étaient complètement étrangers au monde équestre, mais ils ont eu le coup de cœur pour une maison à Lasne qui était vendue avec une petite infrastructure équestre. Celle-ci était gérée par Christine Musette et c’est dans ce cadre que Nikita a commencé à monter. La jeune cavalière a participé à ses premiers concours hivernaux quelques années plus tard avec Spiderman, un poney expérimenté.

Etonnamment, les choses ont commencé à devenir plus sérieuses…après une victoire que Nikita a décrochée en ski ! « A 9 ans, elle s’est imposée dans le championnat de France de Slalom à notre grande surprise », confie Claire, sa maman. « Cela a surtout révélé son excellent mental et nous a encouragés à débuter les compétitions nationales en équitation. »

Pour ce faire, les parents de Nikita Van Der Meerschen ont cherché un coach adapté. On leur a alors conseillé Andre Romanelli, avec qui la magie a toute de suite opéré. « Il est très exigeant mais j’ai tout de suite bien aimé prendre cours avec lui », confie Nikita. En peu de temps, une équipe s’est véritablement formée entre la cavalière, ses parents et le coach. Le poney club attenant à la maison s’est transformé en une écurie sportive familiale, « Midfield Stables », et deux nouveaux poneys sont venus rejoindre Nikita pour lui permettre d’évoluer. Cette année, la jeune cavalière a aussi effectué sa transition à cheval avec succès, ainsi que ses débuts en compétitions internationales.

 

Chevaux

Nikita Van Der Meerschen a démarré la compétition avec un poney acheté à Christine Musette : Spiderman. Aujourd’hui retraité, il lui a offert de belles victoires, principalement en 80 cm.

Afin de permettre à sa Nikita d’évoluer sur des parcours un peu plus haut, sa maman a ensuite choisi Amaguise Montiege, un poney avec de bons papiers et des résultats sur des parcours du mètre 10. « C’est une jument avec beaucoup de qualités mais elle est très complexe à monter et exige qu’on soit très précis », explique Nikita. « J’ai eu pas mal de difficultés avec elle mais c’est aussi le cheval qui m’apprend le plus. Et au fur et à mesure que j’évolue, je suis plus à l’aise lorsque je la monte. »

Après Amaguise, Atchoum’s Dream a rejoint l’écurie et a permis à la jeune cavalière de disposer d’une deuxième monture avec qui se mettre plus en confiance, notamment sur la hauteur. « Nous l’avons acheté sous les conseils de mon coach. Par rapport à Amaguise, il est beaucoup plus facile et froid », précise Nikita. Avec ces deux poneys, la cavalière participe principalement à des épreuves de 90 et 100 cm, « mais Atchoum a des moyens pour faire bien plus donc nous travaillons là-dessus », ajoute-t-elle.

Tout en continuant à monter à poney, Nikita Van Der Meerschen a aussi débuté à cheval cette année avec Lady vh Molenhof Z, une jument également trouvée grâce à l’aide d’Andre Romanelli. « Elle était déjà compétitive sur le mètre 25-30 », explique la jeune cavalière. « C’est une jument qui a un grand cœur et me donne confiance car si je suis hésitante par rapport à une distance et que je lui demande d’y aller, elle le fait ! »

Enfin, Nikita peut aussi compter sur un deuxième cheval de confiance : D-Day de Lison. Acheté à Stéphanie d’Andrimont, il possède de l’expérience sur le mètre 30 et est également un bon professeur pour la jeune fille.

 

Performances

Nikita Van Der Meerschen a décroché pas mal de victoires avec ses différents poneys dans des épreuves régionales et nationales jusqu’au mètre. Elle n’avait jamais sauté plus haut en compétition mais elle a franchi un cap important en 2020 en démarrant la saison sur 1m20, puis en réalisant dernièrement ses premiers parcours sur 1m30. « A la base, il était prévu avec son coach de tourner sur le mètre 10 cette année mais tout s’est bien mis pour Nikita et les chevaux et, à notre plus grand bonheur, les objectifs ont largement été dépassés », confie sa maman, Claire.

En plus de s’aligner sur de plus grosses épreuves, Nikita Van Der Meerschen a aussi signé de très beaux résultats ! Après un concours de mise en route, elle a immédiatement participé au championnat de Belgique scolaires, puis a remporté peu de temps après le titre de championne LEWB dans la même catégorie. « C’était mon premier championnat donc c’était assez inattendu, mais pour mon coach c’était une échéance importante – notamment parce que c’était un concours sur plusieurs jours », explique la jeune cavalière. « Au final les chevaux ont bien sauté, je suis restée sans-faute avec D-Day durant tout le championnat et je suis très fière de ce titre. »
La semaine suivante, Nikita s’alignait dans la Coupe de Belgique scolaires et signait à nouveau une belle performance en terminant 5e, cette fois avec Lady vh Molenhof Z.

Pour Nikita, cette année 2020 a aussi été marquée par ses débuts en CSI. Sa première participation à Lier a été couronnée d’une victoire sur 1m20 avec D-Day, suivie rapidement d’une autre à Opglabbeek sur 115 cm. La jeune cavalière a aussi décroché plusieurs classements et podiums avec ses deux chevaux, et a tout récemment effectué ses premiers parcours sur 1m30.

Bref, 2020 fut à la fois une année de progrès et de succès pour Nikita, au plus grand bonheur de la cavalière et son entourage. « La passion de Nikita est porteuse de beaux moments, j’adore la suivre et la voir grandir grâce à ce sport », confie sa maman. « Je pense que sa réussite tient notamment au contact qu’elle a avec ses chevaux et à l’amour qu’elle leur porte. »

Evidemment, ces beaux résultats sont aussi le fruit du travail et de la détermination de la jeune fille : « Nous avons beaucoup travaillé pendant le confinement et mon coach Andre Romanelli m’a encouragée à m’améliorer en dressage », ajoute Nikita. « Je suis aussi très compétitive et je m’implique plus quand il y a de la pression et de la concurrence. »

 

Objectifs

La saison prochaine, Nikita continuera à concourir tant avec ses poneys qu’avec ses chevaux, et a comme ambition d’être compétitive dans les épreuves scolaires. « Les objectifs se dessinent naturellement au fil des mois mais pour nous l’équitation et la compétition doivent rester un plaisir, Nikita doit pouvoir monter sans pression », confie sa maman Claire.

 La jeune cavalière de 12 ans n’en reste pas moins perfectionniste et avide d’apprendre : « En piste, j’essaye toujours de faire de mon mieux, peu importe le concours. Lorsque je ne suis pas à l’école, je passe beaucoup de temps à m’occuper de mes chevaux et à les monter afin de prendre de l’expérience. »

Discipline(s): 
Jumping
D-Day de Lison Z
Spiderman
Lady vh Molenhof Z
Atchoum's Dream
Amaguise de Montiège